IM NICE 2019

benoist a écrit:

La journée de dimanche est vite passée à suivre vos efforts

Certes, le dimanche est passé vite mais devant autant de difficultés, à pied notamment, je souffrais avec vous !

Bravo pour être allé au bout !

Le titre de mon CR va tout résumer : en 2 mots : Echec CUISANT

... il est 11h05 environ ... (j'ai attaqué le vélo vers 8h15 de mémoire)
cela fait le 3ème arrêt sur le bord de la route sur un petit coin d'ombre que je cherche désesperemment... "je ne supporte pas la chaleur" (n'est-ce pas Mag... c'est pas faute de l'avoir répété depuis des mois)

Auparavant, pendant la montée du col de l'Ecre, je retrouve Anne. Je luis dis qu'il fait très chaud. Elle me répond : "Oui et il n'est que 10h30". Je regarde ma montre: en effet, il n'est même que 10h23"
Je m'arrêterai 2 premières fois à l'ombre pour refroidir tant bien que mal que le bas-côté, et je repars à chaque fois que Anne repasse mon niveau. C'est mon repère.
Puis surviendra ce 3ème arrêt je croise les bras sur le guidon, la tête posée, j'ai la tête qui tourne. Et là c'est le drame, un médecin de course passe, me voit et s'arrête, me demande mes symptomes. On me balance un coup de bombe de froid. Un arbitre s'arrête à mes côtés dans la foulée et me demande si je veux abandonner.
Je réponds que non, que je vais rallier le col de l'Ecre et me poser là-haut pour me refaire. Mais le médecin me déboute en disant qu'il reste encore près de 100kms sous le cagnard (en réalité on est au km 62) et que dans mon état il faut que j'arrête. L'arbitre me regarde droit dans les yeux et me dit qu'il doit privilégier l'avis du médecin. Dossard retiré. Fermez les rideaux...
Je suis dé-pi-té
J'ai l'impression que je n'ai pas eu de seconde chance... pas le droit de vomir comme Seb ou Nico. Tout s'est terminé en 3 minutes, et j'ai pas compris ce qu'il m'arrivait.
Mes proches me rassureront en disant qu'il faut privilégier la santé... des mois de sacrifices et de préparation (car j'étais prêt pour la distance, pas pour cette putain de canicule) qui partent en quelques instants sans avoir pu tout donner, ni même se battre... le désarroi complet.

Je ne dors quasiment plus depuis dimanche (par tranche de quelques heures)... je me refais la course pour comprendre. J'ai 0 expérience sur ce type de course, alors j'écoute et je lis les uns les autres (notamment l'analyse de Seb sur la cuisson avant et pendant la natation qui a surement joué aussi) mais je ne digère rien de cette frustration. Vous avez vomi (pour certains) pendant l'épreuve. Moi je me réveille chaque matin avec la nausée de mon échec.

Pour garder un point positif personnel :
=> ma natation : 1h10 pour moi sur 3800. Je pense que mes collègues du lundi soir à Saran doivent être tout autant étonnés que moi

Pour l'aspect positif global :
Bravo à tous, les finishers, car quelque soit le résultat final, finir sous cette fournaise tient déjà de l'exploit

Juju80 a écrit:

notamment l'analyse de Seb sur la cuisson avant et pendant la natation qui a surement joué aussi

J'en suis convaincu.
On a mariné pendant près de 30' avant sur la plage avec la combine, c'était un vrai sauna, puis pareil dans l'eau pendant plus d'1h.
Sûr d'avoir grillé toutes mes cartouches à ce moment ! Fallait avoir le courage de nager sans combine quitte à perdre 10 à 15' dans l'eau, que ça serve de leçon !!!
Et comme je te l'ai dit, rebondis sur un half de fin de saison, ne reste pas là-dessus, c'est important je pense.

Juju80 a écrit:

Le titre de mon CR va tout résumer : en 2 mots : Echec CUISANT

... il est 11h05 environ ... (j'ai attaqué le vélo vers 8h15 de mémoire)
cela fait le 3ème arrêt sur le bord de la route sur un petit coin d'ombre que je cherche désesperemment... "je ne supporte pas la chaleur" (n'est-ce pas Mag... c'est pas faute de l'avoir répété depuis des mois)

Auparavant, pendant la montée du col de l'Ecre, je retrouve Anne. Je luis dis qu'il fait très chaud. Elle me répond : "Oui et il n'est que 10h30". Je regarde ma montre: en effet, il n'est même que 10h23"
Je m'arrêterai 2 premières fois à l'ombre pour refroidir tant bien que mal que le bas-côté, et je repars à chaque fois que Anne repasse  mon niveau. C'est mon repère.
Puis surviendra ce 3ème arrêt je croise les bras sur le guidon, la tête posée, j'ai la tête qui tourne. Et là c'est le drame, un médecin de course passe, me voit et s'arrête, me demande mes symptomes. On me balance un coup de bombe de froid. Un arbitre s'arrête à mes côtés dans la foulée et me demande si je veux abandonner.
Je réponds que non, que je vais rallier le col de l'Ecre et me poser là-haut pour me refaire. Mais le médecin me déboute en disant qu'il reste encore près de 100kms sous le cagnard (en réalité on est au km 62) et que dans mon état il faut que j'arrête. L'arbitre me regarde droit dans les yeux et me dit qu'il doit privilégier l'avis du médecin. Dossard retiré. Fermez les rideaux...
Je suis dé-pi-té
J'ai l'impression que je n'ai pas eu de seconde chance... pas le droit de vomir comme Seb ou Nico. Tout s'est terminé en 3 minutes, et j'ai pas compris ce qu'il m'arrivait.
Mes proches me rassureront en disant qu'il faut privilégier la santé... des mois de sacrifices et de préparation (car j'étais prêt pour la distance, pas pour cette putain de canicule) qui partent en quelques instants sans avoir pu tout donner, ni même se battre... le désarroi complet.

Je ne dors quasiment plus depuis dimanche (par tranche de quelques heures)... je me refais la course pour comprendre. J'ai 0 expérience sur ce type de course, alors j'écoute et je lis les uns les autres (notamment l'analyse de Seb sur la cuisson avant et pendant la natation qui a surement joué aussi) mais je ne digère rien de cette frustration. Vous avez vomi (pour certains) pendant l'épreuve. Moi je me réveille chaque matin avec la nausée de mon échec.

Pour garder un point positif personnel :
=> ma natation : 1h10 pour moi sur 3800. Je pense que mes collègues du lundi soir à Saran doivent être tout autant étonnés que moi

Pour l'aspect positif global :
Bravo à tous, les finishers, car quelque soit le résultat final, finir sous cette fournaise tient déjà de l'exploit

Rien qu'avoir les cou...es de s'engager sur une épreuve comme celle-ci après un an de triathlon mérite le respect, alors bravo 👏 et la santé avant tout je pense que tes proches ont raison.

Seb a écrit:

Sûr d'avoir grillé toutes mes cartouches à ce moment ! Fallait avoir le courage de nager sans combine quitte à perdre 10 à 15' dans l'eau, que ça serve de leçon !!!

Ou peut-être n'enfiler le haut de la combi (et le bonnet) qu'au dernier moment. Puis, pourquoi ne pas se débarrasser du bonnet en nageant (genre je l'ai perdu au départ )

Juju80 a écrit:

Auparavant, pendant la montée du col de l'Ecre, je retrouve Anne.

Désolé Isa, je te confonds toujours ton prénom avec Anne. Vous aurez compris qu'il s'agissait donc d'Isabelle

Juju80 a écrit:

Juju80 a écrit:

Auparavant, pendant la montée du col de l'Ecre, je retrouve Anne.

Désolé Isa, je te confonds toujours ton prénom avec Anne. Vous aurez compris qu'il s'agissait donc d'Isabelle

Euh nan, moi j'avais pas compris...

Je croyais que tu parlais de ta femme.



La combarde aurait du être interdite... C'est quand même un comble qu'une orga (mais pas n'importe laquelle, une qui a "de l'appui, forcement !" ) puisse contourner allègrement le règlement FFtri dont elle dépend, alors que cette limite de 24°C est étayée par des études qui annoncent bien de gros risques d'hyperthermie et de déshydratation en cas de non-respect...

Ils préfèrent que tout le monde flotte, même en mauvais état, pour ne pas prendre de risque "direct" !

Et cela fait bien ressortir aussi un point négatif pour le rolling-start, qui fait beaucoup attendre les nageurs, debout sur la plage..

Les copains! si vous ne voulez pas resté sur un ""échec""( j'aurais pas fait mieux...) vous avez un full à Toulouse
le 14 septembre, avec vos entraînements et votre rage vous allez tout défoncer:rambo:

Juju80, arrêter à 8km de l'arrivée du half de Vendôme l' année dernière pour raison médicale ( déshydratation et insolation, Yan peux confirmer ) tu te dis que çà pouvais le faire mais la santé avant tout. Après la frustration, tu relativise, il y aura d'autre course. Un tee shirt et une médaille ne font pas tous ce n'es que du sport.
Bonnes vacances et à la rentrée à la piscine
Alain L

Juju80, arrêter à 8km de l'arrivée du half de Vendôme l' année dernière pour raison médicale ( déshydratation et insolation, Yan peux confirmer ) tu te dis que çà pouvais le faire mais la santé avant tout. Après la frustration, tu relativise, il y aura d'autre course. Un tee shirt et une médaille ne font pas tous ce n'es que du sport.
Bonnes vacances  et à la rentrée à la piscine

Bravo à tous et toutes car vue les conditions et aller au bout de soi même respect
bonne récupération

Alain L

Bien que je n'ai pas couru, moi aussi jai fait un CR ..

Brèves d'un Ironman, coté spectateur (extraits de cette journée caniculaire du 30 juin 2019 - Ironman de Nice)

"On se lève à quelle heure demain? 4h? Ca va, c'est 30min de moins qu'à Embrun!"
"Faut que je récupère sa pompe.. oui normalement ça tient dans le sac, mais quand même"
"Jai déjà chaud"
"Il vient de sortir de l'eau.. euuh il a bien nagé !! Pour l'entrainement qu'il a ... c'est vraiment pas mal"
"Il est toujours pas sorti du parc ?? Mais il prend un café ou quoi?"
"T'as regardé l'appli ?? Il est pas sorti de l'eau encore..?"
"Ya Camille qui sort de l'eau !!!Caaaamilllleee !!!!!!"
"ALLLLEEEZZZ ... merde il m'a pas vue.."
"Qui veut un coup de brumisateur ? C'est ma tournée"
"Nan mais en six heures, on est large.. petit dej, plage on a le temps"
"On se fait un McFlurry?"
"Je sue. Mais vraiment"
"Il en est où ?? Il dit quoi le tracker??"
"Il est bloqué au 111e .. nan mais tu sais, le tracker doit buguer avec le monde dessus..."
"Il a dépassé Camille !! Ca y est!"
"Merci Nice pour les arrosages..."
"Il en est ou ?? Tu peux regarder stp? Toujours 130e ?"
"Ils doivent tellement en chier ca me donne tellement pas envie"
"Tiens regarde.. DE L'OMBRE"
"Ya Camille qui a passé le 151e... CAMILLLLEEE ... oula il a pris cher.."
"Viens on va a la douche de la plage .. nan mais moi jy vais tout habillée la au point ou j'en suis"
"Il a pas l'air bien"
"Ouais il court ça a l'air d'aller.. nan mais je connais le truc devant nous ca fait genre ... mais jte parie que la bas il doit marcher, on s'en fou de toute manière tant qu'il finit.."
"Il fait une super course la!!"
"Il est dans le dur"
"Il a passé le 25e??? Pas encore?"
"Je sais pas comment ils font .. "
"Allez c'est la fin la !!!" (Reste 10 bornes..)
"Sub 11 !!!!!"
"Ca te donne pas envie toi ??" "..."

Bravo à tous, les conditions étaient vraiment pas faciles .. et la santé avant tout !!

Moi j'adore ton ce Estelle, tu donnes vraiment envie d'être spectateur. 

C'était cool ! C'est quand qu'on recommence ? ;-)

Pas Squale

Pas squale a écrit:

C'était cool  ! C'est quand qu'on recommence ? ;-)

Pas Squale

Les inscriptions 2020 ouvrent lundi prochain... Vas-y ! Ils prévoient 22°C et un petite brise marine rafraîchissante...

Bon à mon tour !
L’aventure commence cet hiver, ce n’était pas forcément un projet pour 2019 mais devant l’insistance de Mag, Seb et d’autres (« si si viens tu verras, c’est sympa et puis le vélo après 120 km c’est que de la descente   »). Je réfléchis quand même un peu mais finalement, j’y vais, sachant qu’on sera une dizaine à se retrouver ensemble à Nice le 30/06.

La préparation se passe pour une fois très bien, de bonnes sensations en vélo. Je retiens la leçon de Tours en 2018 : révision du vélo, changement de la chaine, des pneus et même des chambres à air. Hormis une petite alerte au mollet droit, qui m’empêche de finir Brin d’Amour, j’arrive même (et c’est une première) sans blessure la veille d’un Ironman.

Les jours précédant l’évènement annoncent de fortes chaleurs, ce qui rajoute à l’inquiétude déjà présente. Avec un changement significatif le vendredi soir, passage à 152 km en vélo et 30 en CAP, on sent qu’il y a eu beaucoup de tractations entre l’orga et le préfet. Jusqu’au dimanche matin, on se dit que ça peut encore évoluer voire être annulé. On nous a même fait signer une décharge en déposant le vélo la veille.

Finalement, la course est maintenue. Une nuit d’avant pareille aux autres, sommeil difficile à trouver, réveils réguliers, marre d’attendre, faut y aller maintenant.

Réveil à 4h, popos (remarquez le pluriel ) habituels d’avant course et direction la promenade des anglais avec Mag, Seb et Nico, on retrouve là- bas Isa, Allan, Juju et Nico D par contre, pas de trace de Pascal trop occupé apparemment à gérer ses problèmes techniques.

Température de l’eau, annoncée à 24,6°C, mais combin autorisée, comme quoi on fait bien ce qu’on veut avec le règlement.

Je décide de rester avec Mag, Seb et Allan, quitte à partir dans une vague pas conforme à mes prétentions mais pas grave, on se rassure tous ensembles et puis pas envie d’attendre longtemps à mijoter dans la combi, il fait déjà un bon 27-28°C.

Et hop, c’est parti, je pars calmement, je sais que ça va être long, mon objectif est de faire mieux qu’à Embrun. Je vois Mag à ma gauche, on va rester globalement ensemble tout le long de la nat, sans se voir.

Finalement, ça se passe pas mal du tout, conforme à mes prévisions, je sors en 1h15 soit 5 mn de mieux que la dernière fois. Comme quoi, nager 2 à 3 fois par semaine, ça aide. Mais il faudra des années pour gagner encore 5 à 10mn.

Direction le vélo, transition assez longue, le PAV est tout en longueur et je suis assez loin. L’organisation est pas mal faite (heureusement vu le prix), on passe par une zone où on récupère nos sacs et on peut se changer assis, ce qui est quand même plus facile qu’entre les vélos.

Ma chérie est là pour m’encourager, ça fait vraiment du bien, Estelle est après la ligne de montée vélo, je la verrai après.

En partant vers mon vélo, justement, je vois Mag qui part, nous nous retrouvons ensembles à la sortie, une petite tape dans la main et c’est parti !

Les premiers km sont roulants, vent dans le dos, tout va bien. Puis vient la première montée, on sent bien l’air chaud, penser à boire et manger régulièrement, ça va être mon obsession tout le temps et préserver mes cuisses qui se souviennent encore que les crampes étaient arrivées un peu vite à Embrun.
Au 2ème ravito, il fait vraiment très chaud (plus de 40°C), je croise Seb qui n’a pas l’air bien du tout. C’est vrai qu’il n’aime pas quand il fait chaud. Heureusement, Mag va lui redonner l’énergie pour aller au bout.

La suite se déroule sans trop de problème, je gère dans les montées et me fait plaisir dans les descentes.
Finalement, le vélo passe bien, j’étais un peu déçu qu’ils enlèvent 28 km surtout qu’ils n’ont pas touché aux montées. Je termine en 5h58mn ce qui est très bien, conforme à mes espérances.
Arrive le moment clef. Sur mes 2 autres IM, j’ai systématiquement commencé la CAP avec soit une blessure qui réapparait, soit des crampes. Dans les 2 cas, j’avais plus marché que couru.

Je prends mon temps pour T2, il fait vraiment très chaud (il est à peu près 14h). Maggy est là et elle m’encourage, ça fait du bien. Et puis je pars, et finalement, les jambes déroulent tranquillement, pas de douleurs, ça c’est vraiment super. J’avais vraiment veillé à faire régulièrement des transitons vélo- CAP, je vois que les efforts payent. Je rattrape Nico qui est dans son début de 2nd tour. On discute un peu mais je reste sur mon rythme et le laisse un peu derrière (ç’est pas souvent que je vais doubler Nico en course, donc je peux me la péter un peu).

Le premier tour se passe bien, il fait vraiment super chaud, l’air est irrespirable, heureusement les ravitos sont proches et il y a des douches avant ou après à chaque fois. Je pense à bien boire et m’arroser à chacun.

Je croise aussi Allan qui a à peu près un ½ c tour d’avance sur moi, je n’arriverai pas à me rapprocher de lui, dommage ça aurait été sympa de finir avec lui.

A la fin du tour, les encouragements de Maggy, Estelle et Morgane me font vraiment du bien. Estelle me crie que je fais une super course !

Le second tour est un peu plus difficile, je marche un peu plus tôt avant les ravitos et idem après, je vois de plus en plus de coureurs allongés, pris en charge par les bénévoles. Après le ½ tour, je vois Mag et Seb qui en finissent avec le vélo.

Arrive le dernier tour, Mag et Seb me rattrapent et on reste ensemble une bonne partie du tour, alternance marche et course, avec douche à chaque ravito.

A l’avant dernier ravito, il reste encore environ 3 km, on est ensemble tous les 3 mais moi, comme à chaque fois, je ne m’arrête pas, je passe en marchant et je récupère à boire, à manger. Quand je me retourne, plus de Doisneau, j’apprendrai après que Seb a commencé à vomir à cet endroit et que ça a duré jusqu’à la fin.

Finalement, j’en termine en 11h12mn, les derniers mètres sont inoubliables, je croise d’abord Maggy et Estelle et après les fameux derniers mètres au milieu des barrières et le fameux « you are an ironman !! » Limite, la larme à l’œil…

Qu’est- ce que je retiens de cette course ?
- Une chaleur étouffante à la limite du raisonnable (c’est facile de dire ça quand on a fini)
- Enfin une course sans blessure avant et pendant, c’est quand même plus sympa
- L’impression d’avoir fait une bonne préparation même si je peux forcément l’améliorer
- Le plaisir de faire ça avec les copains, qu’est-ce que ça fait du bien d’être ensemble dans le PAV et de se croiser pendant la course.

Ah que ça fait du bien de lire ces CR pleins de réalisme et d'humilité à chaque fois... Quand en plus, ça se termine bien, c'est top !

Ça redonne envie d'y retourner à chaque fois...

Et quand la conclusion débouche sur l’essentiel... :

CHRISTOPHE H a écrit:

- Le plaisir de faire ça avec les copains, qu’est-ce que ça fait du bien d’être ensemble dans le PAV et de se croiser pendant la course.

Un reportage vient de passer sur l'Equipe, je l'ai pris en cours. On voit Christophe et Nico à la cap

Vanou a écrit:

Un reportage vient de passer sur l'Equipe, je l'ai pris en cours. On voit Christophe et Nico à la cap

vu les povs chronos vaut mieux pas regarder ça doit pas être joli joli