Séance càp du mardi 05/04 soir

Suite à plusieurs demandes d'entre vous (cause blessures dues à la piste ,...) et maintenant qu'il fait jour plus tard, nous nous sommes mis d'accord pour un rdv au parking de l'Eglise de la Chapelle St Mesmin à 18h30. Les bords de Loire présentent des parcours sympathiques dans ce coin.

Pourrions-nous avoir la présence d'un "Garmin" afin d'étalonner quelques tronçons?

Donc pas de HT mardi prochain, les futurs enchainements auront lieu les dimanches matins en nature! (Sologne ou ZI de la source): Dimanche 10/04 probablement.

Sincérement j'aurais aimé qu'on m'en parle avant de lire ca sur le forum, en tout cas sans moi pour ailleurs que sur Saran, car je dois être à 19h45 à la piscine le mardi soir pour l'entrainement des jeunes.

Possible que j'en sois, mais pas à 100%

Même si rien n'est encore confirmé, deux lieux simultanés d'entraînement ne seraient pas impensables.
Ceux qui préfèrent la piste et/ou le nord allant avec Mathieu.
Ceux qui veulent éviter la piste et/ou se situent plus près du bord de Loire que de Saran avec Arnaud.
Cela diminue peut-être le nombre de participants mais ne le supprime pas.
Une séance d'entraînement peut être très dure à effectuer tout seul (cf samedi dernier) mais il n'est pas nécessaire d'être un très grand nombre. A plus de 3 - comme j'aime à le répéter - Brassens disait qu'on est déjà une bande de cons.

De mémoire... je crois que c'est à plus de 4...

Jief T. a écrit:

De mémoire... je crois que c'est à plus de 4...

ça dépend, y'en a qui ont le potentiel pour compter pour deux...

ok pour demain a l'eglise de la chapelle, ca changera un peu

Jief T. a écrit:

De mémoire... je crois que c'est à plus de 4...

Exact, mon cher Jief. Ta culture de Brassens n'est plus à démontrer.
Mais à mon avis, à plus de 3, ça reste vrai...
D'ailleurs, un autre chanteur (je ne sais plus qui?) disait:

"On peut me dire sans rémission
Qu'en groupe en ligue en procession
On a l'intelligence bête
Je n'ai qu'une consolation
C'est qu'on peut être seul et con
Et que dans ce cas on le reste"

Jean Ferrat.